Collection Escorte. Comment JAi Débuté Dans Le Métier. Saison I (2/8)
Je suis en train de retourner chez moi après que lhomme que je prenais pour un gentleman, meut sauté avant que jaie eu le temps de dire si jétais daccord.
Il ma fait boire moi qui suis toujours sobre et ma littéralement viré en me mettant quelque chose dans la main et me disant de revenir quand jaurais de nouveaux besoins.
À quelques mètres de chez moi, je me décide à regarder certaine de ce que jallais découvrir, deux billets de 500 presque la somme que me donnent mes parents.
Mon premier réflexe est de repartir chez cet homme qui ma prise pour une pute, mais après dix mètres mes pas sont moins assurés, car je vois comment je vais pouvoir finir le mois après ce quil vient de me donner.
Je me rassure, je me mets dans la tête que cet argent est juste pour maider et que si je lavais voulu, jaurais pu partir en une ou deux occasions bien sûr sans le faire.
Je mets dans un coin de ma tête cet événement, étant sûr que je métais égarée.
Le lendemain en sortant de mes cours, je vais chez mon opérateur téléphonique.
Je récupère ma ligne téléphonique fermée dans les premiers jours de ma galère.
Le lendemain, je suis une femme, je vais au supermarché acheter des tampons hygiéniques, les billets me brûlant les doigts, jachète plusieurs objets dont certains très futiles.
Rentrant dans ma chambre, il me reste exactement 542 sur les 1000 que Louis ma donné.
Je freine mes dépenses et grâce au chèque de mes parents jarrive à tenir une semaine de plus que les autres mois avant de refermer mon chauffage.
Jessaye de fermer mon forfait téléphonique, mais ce que jai signé est avec un contrat dun an et je suis bloquée.
Je tiens encore deux jours, mais je suis coincée, même les paquets de pâtes sont épuisés.
- Bonjour Guénaelle, jétais sûr que tu reviendrais, une jeune fille comme toi à des besoins.
Je tiens à taider, entre et dirige-toi directement dans ma chambre.
Plus de champagne, plus de petits fours, juste un lit et des billets quil prend dans un tiroir dans son armoire.
- Tiens, voilà de quoi tenir quelques jours.
En prononçant ses mots, il ouvre sa braguette et me présente sa queue.
- Suce.
Ce seul mot me plonge directement dans le monde de la prostitution.
Quand jai connu le seul homme qui ma dépucelé à la fête de Marie le 15 août dans notre village, jétais consentante me trouvant déjà vieille par rapport à mes copines.
Cest naturellement que mon deuxième amant depuis que je suis devenue femme me la met dans ma bouche.
Il est incroyable que ce soit comme une professionnelle du sexe que je fasse ma première fellation à mon premier client car plus de doute, Louis en qui javais pu voir un homme de goût me venant en aide, vient de me plonger dans la stupeur quand il me confirme vouloir avoir des rapports sexuels contre monnaie.
Mais en revenant, avais-je encore des doutes.
Il me relève, me place sur le lit à sa convenance marrache une nouvelle fois mon string.
Cest en étant derrière moi que je reçois sa queue sans envie dêtre pénétré, poussant pour lintroduire en moi.
Comme la première fois, il décharge rapidement et je suis contente de le sentir sortir de ma chatte.
Je sens son sperme couler le long de mes jambes au moment de me rajuster.
- Donne-moi ton numéro de téléphone, je tappellerais moi-même la prochaine fois que jaurais envie de te baiser.
- 06.00.00.00.00.
Je le vois quil prend un stylo et noter, il me donne mon argent avant que je tourne les talons pour retourner chez moi.
Contrairement à la première fois, je sens les deux billets dans ma main, je sais que pour Louis mon cul vaut 1 000 .
Je suis tranquille chez moi, mais une chose a changé, au lieu dun téléphone avec un petit forfait, je signe un contrat en illimité, dans ma tête, la jeune fille soumise à cet homme âgé pour moi est ingurgitée.
Un soir, il sonne alors que je travaille mes cours.
- Allo Guénaelle, tu peux mappeler Pierre, Louis mon copain ma donné ton numéro.
Je suis de passage à Paris, je tattends chambre 322 à lhôtel face à la gare de Lyon dans une heure, tu es sûr de trouver.
Il raccroche me laissant sans voix mon téléphone à loreille.
Ce coup de fil arrive au moment où mes finances sont au point bas.
Jen arrivais même à me demander quand Louis allait mappeler.
Il faut dire que cet argent facilement gagné, en écartant mes cuisses, a tendance à me brûler les doigts.
Comme toute personne ayant souffert de la faim, même si cest huit jours, jadore faire les grands restaurants de Paris.
Jai le choix y aller ou rester à travailler mes cours.
Je me change, je mets une mini qui dégage le galbe de mes fesses avec des chaussures hélas sans talons hauts, il faudra que jen achète.
Pour la première fois, je me sers de mes produits de beauté achetés avec mes premiers 1 000 en choisissant des teintes provocantes.
Dans le métro un homme aussi bien mis que Louis sentant la pute qui va à son rendez-vous me met carrément la main aux fesses.
La baffe quil se prend doit lui faire penser quil sest trompé et que je suis une femme bon chic bon genre qui aime se maquiller outrageusement.
À lhôtel je vais à la réception, je signale que je monte chambre 322, le réceptionniste me regarde dun regard étonné.
- Lascenseur est là.
Il me montre ce que je vois moi-même, mais étant bien élevé maman mayant toujours dit que lorsque l'on entre chez les gens on se présente.
Au moment où lascenseur arrive, je vois le réceptionniste sortir de derrière son comptoir après avoir parlé à son collègue et venir à ma hauteur quand les portes souvrent.
- Je voudrais vous dire, vous êtes débutante dans le métier.
- Quel métier ?
- Allons ma belle à lheure où tu arrives, fringuée comme une pute, maquillée comme une pute et qui dit aller à la chambre 322, tu es tout sauf une ménagère de bonne famille mariée avec trois mouflets.
Jai plus de 20 ans dexpérience comme réceptionniste, alors fait moi confiance, je vous renifle à des kilomètres.
- Que voulez-vous ?
- Moi rien, mes clients eux me demandent de temps en temps un oreiller et dans notre monde, un oreiller, cest une pute quil désire que je leur procure.
Si tu sais te montrer généreuse chaque fois que je te ferais appeler, quand tu redescendras, tu passeras vers moi avec un joli billet dans la main, tu vas faire banco roulé comme tu es.
- Tu veux me baiser ?
- Surtout pas, je suis marié, mais ma femme a des goûts de luxe et son joli petit cul me coûte cher.
À toi de voir, voici mon numéro, réfléchi bien rappelle-moi ou fait toi faire des cartes avec comme profession masseuse et bien sûr le numéro où lon peut te joindre.
Bonne nuit à toi, pour la première fois, cest gratuit.
Gratuit pour lui mais pas pour le client.
- Louis ma dit quil te donnait 1 000 .
Il se fiche de toi avec ta classe certes un peu voyante à mon goût !
Je retiens la leçon, ce qui est étrange avec ce deuxième client, cest que mon cerveau déconnecte de lacte sexuel tant quil sagite en moi.
Je tortille du cul, je pousse des soupirs même si ma jouissance est loin de venir et mon seul plaisir, cest douvrir lenveloppe quil me tend, vérifiant que la somme demandée est bien là.
Encore un troisième homme dans ma vie qui cherche les fantasmes que leur refusent leurs femmes et quils ont du mal à leur demander.
Le copain de Louis cest ma rosette qui lintéresse, mais je suis vierge de lanus, sachant pourtant que la sodomie existe.
Il ma donné 1 000 comme il me la dit au téléphone, japprends vite, et si je veux réussir mes concours, il faudra que jaie un esprit vif.
- Attends, on arrête, ma rondelle je veux bien, mais cest 1 000 de plus.
- Je regarde jai pris de largent, mais je me suis payé un café avec un des billets de 200, il me reste 996 .
- Je vais faire une exception, cest daccord, je te fais cadeau des 4 , mais dis-moi, le café est cher à Paris.
Cest comme ça quil mencule me faisant mal.
Il faut savoir souffrir dans mon nouveau métier, même si cest le premier, une phrase entendue un jour, me revient en mémoire, faire la pute, cest le plus vieux métier du monde.
Je gagne rapidement beaucoup de monnaies, grâce au réceptionniste à qui dans un premier temps, jai donné mon numéro de téléphone et les cartes que jai fait confectionner comme il me la demandé.
Mes études dans tout cela, le premier trimestre est parfait, jétudie le jour sauf client dexception.
Je travaille la nuit surtout dans les hôtels où trois réceptionnistes ont mes cartes et accepte toujours le billet que je leur glisse en redescendant.
- Allo, Guénaelle, cest Louis.
- Vous vous trompez, Guénaelle est la jeune fille qui devait avoir ce numéro avant je mappelle Anabella.
- Jai compris Anabella, mais il est étrange que vous ayez la même voie que la sienne, dans une heure chez moi.
- Pourquoi pas, 2 000 le massage ?
- Une fois de plus jai compris, tu es devenue une vraie pro grâce à moi, jespère que tu as une belle vie.
Je peux avoir une remise, je suis ton premier, je tai mis le pied à létrier, on reste à deux billets de 500.
- Au revoir monsieur, heureuse de vous avoir connu.
Et je raccroche, son copain ma bien briffé, 2 000 la nuit ou rien.
Le téléphone sonne de nouveau, il avait raison un de quitter un autre de retrouver.
- Allo, Anabella, je suis daccord 2 000.
- Trop tard mes tarifs pour mes massages viennent de subir linflation et cest 2 500 que vous aurez à payer.
- Cest bon tu as gagné, je pense que tu refuses les chèques alors à demain soir si tu es libre, jaurais ton liquide.
- Attendez, je regarde.
Je sais que ma soirée du demain est libre, mais je le fais baver denvie davoir la pute quil a décelé en moi dans son lit.
Je me suis améliorée au fil de mes rencontres bien que jaie commencé il y a à peine trois mois.
Le lendemain, je suis habillée avec une tenue moins provocante et moins maquillée quà mon premier hôtel.
Je fais rouler derrière moi une valise où au fil des demandes, jai accumulé des objets qui me servent, pour mes passes.
Le taxi qui mattend à une courte course à faire, mais le billet que je lui glisse en pourboire aplani son mécontentement.
Aujourdhui, même si je vais prendre son fric, je réserve une petite surprise à Louis
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